Dire « rythme du silence » c'est non seulement penser le silence comme langage, et parfois la réalisation maximale du langage, mais aussi parcourir les acceptions De la notion de silence. De ce qui n'est pas dit, ou qu'on est incapable de dire à ce que les mots ne peuvent pas dire, le fameux indicible, mais aussi l'innommable, Et la censure, faire silence sur, jusqu' au problème poétique. Il y a aussi une langue de bois du silence.
La représentation visuelle de la métaphore : une approche sémiotique sociale
Les exemples de métaphores visuelles dans les publicités sont analysés en fonction de leurs effets de persuasion. Nous concluons que le cadre sémiotique social est en mesure de fournir un compte rendu complet de la réalisation visuelle de la métaphore. De plus, l’étude offre également une explication cognitive de la façon dont des ressources comme le positionnement de la caméra et la composition acquièrent du sens.
The multimodal representation of emotion in film: Integrating cognitive and semiotic Approaches
The paper demonstrates how the social semiotic approach, combined with cognitive theory of emotion structure, is able to provide a comprehensive theoretical account of how various film techniques represent emotion. It is also significant for the study of viewer emotion, which to a large degree stems from character emotion.
La représentation multimodale de l'émotion au cinéma : Intégration des approches cognitive et sémiotique
L'article démontre comment l'approche socio-sémiotique, combinée à la théorie cognitive de la structure des émotions, est capable de fournir un compte rendu théorique complet de la façon dont diverses techniques cinématographiques représentent les émotions. Elle est également importante pour l'étude de l'émotion du spectateur, qui découle dans une large mesure de l'émotion du personnage.
Film Poetry: A Historical Analysis
The concepts of ‘film poetry’ and the ‘film poem’ have been used on a number of occasions throughout the history of film by different filmmakers and theoreticians. Each of these writers applied their own understanding of what the film poem might be and rarely took different perspectives into consideration. Some use the term ‘film poem’, others prefer ‘cinepoem’, whereas some later writers seem to place importance in the existence of the hyphen between the words film and poem and hence talk about the ‘filmpoem’.